Zero Roses Tome 2: Wiederentdeckung (retrouvaille)

Lili devrait écrire ce soir, après avoir fait le raison violet.
Allez comprendre pourquoi en un SMS je l'imagine déguiser en raisin.^^

Je suis follasse ces derniers temps car je suis gentille avec Timo.

Mais je veux qu'en même une suite. Je veux qu'elle souffre et qu'elle voit ce qu'elle a perdu. Je lui pèterai les dans dans mes rêves à cette Kathia.

C'est quoi cette histoire de violet oO

De violette??? Oo Non de raisins de couleur violette. Car elle ma dit quue a Mam lui tenai grappe. Et je l'ai imaginer déguisé dans une grappe de raisin violette. T'inquiète, je vais me faire interné, lol.

Je vois ça xD

J'ai un sérieux soucie psychologique en faite. Tu le savais pas hein? Je t'explique. Timo Sonnenschein, le MC de ce groupe, n'a point de cerveau. Donc pour parraitre inteligeant pendant les interviews. Il ma demande de lui prèter mes noeurones. Chose que j'ai malheureusement faites. Depuis un an il veut plus me les rendre.

Je suis fichuuuuuuuuuuuu

Tu sais, j'en avais un de secours si tu veux je peux toujours te le donner ... Je partage ceux de Mimine ^^

Il a eu 17.8 au bac il doit bien en avoir à revendre xD

Ohhhhhhh c'est trop gentille ma Nou.

Effectivement mimine en a des noeurone. Il me fait un pret??? =)

tOI JE SAIS PAS !!

Mais moi je compte bien partager ma salive avec lui donc il SE DOIT de preter ses neuronnes XD

Mdr alala notre Nounou je vous jures. Qu'est ce qu'on l'aime.

Je sais je me fais peur parfois xD

Moi a pas peur de toi lol

J'ai enfin tout lu ! =P
TROP TROP TROP TROP TROP TROP BIEN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
A quand la suite ????????????????????,

Kikou tout le monde!

Y a pas de soucis... Tu peux poster la fic sur le forum. Perso, j'ai pas le temps! Milles excuses ><

Oo je te souhaite bon courage hein XD....

Elle arrive petit à petit mais avec mon autre fic plus mon roman, elle met du temps à arriver!

Chapitre 15 enfin là... ^^ Rassurez-vous, ça ne part pas en couille c'est du logisme à moi (ce mot n'existe pas? XD pas gravce)

Chapitre 15

Chapitre 15

"Tu as détruit tellement de choses!" Murmura-t-il. " Et pourtant tu nous as laissé un cadeau si merveilleux... C'est tellement ironique, tu ne trouves pas?"

Il regarda longuement l'épitaphe : " A notre petite voix d'or... Que tu reposes enfin avec les anges."
Frank posa une rose violette très clair sur la tombe blanche. Cette fleur signifiait tellement: la douleur dans un écrin de beauté si douce. La couleur pour qu'Anna n'oublie pas sa soeur. C'était un peu bête, il le savait, mais il avait besoin de poser ces gestes. Ca lui donnait une assurance qui lui permettait de porter Olivia à bout de bras.

"J'aime pas ici!" Le surprit Lilas qui agrippa sa main.

Frank la prit dans ses bras.

"C'est maman?" Demanda la petite avec toute l'innoncence qui la caractérisait.

"Oui! C'est ta maman."

Lilas garda le silence, son regard posé sur la pierre tombale.

"Elle me voit, tu crois?"

"Elle est avec les anges maintenant. Elle te voit." Certifia Frank.

Lilas sourit, rassura de cette réponse et descendit des bras de Frank.

"Maman, je t'aime." Dit-elle à la photo posée sur la pierre.

Elle courrut rejoindre son jumeau qui courrait à travers le cimetière.
Frank posa son regar sur la tombe mais finit par se détourner pour reprendre les enfants et partir.

""""""""""""

Melina soupira en ferma son carnet. Elle s'était mise à l'écriture depuis peu.
Pour quelles raisons?
Une envie soudaine... Sûrement un moyen de ne jamais oublier les moments passés en les rendant tangihles à un endroit précis. Elle s'était rendue compte qu'au fil du temps, certains instants devenaient de plus en plus vagues dans l'esprit.
Ils s'échappaient petit à petit.
Alors elle racontait sur papier pour garder une trace.
Elle s'imaginait dans trente ans, ou plus, ou moins, caresser ces pages noircies avec un sourire mi amusé mi triste en relisant chaque mot. Les souvenirs remontraient immanquablement. Elles en riraient toutes les trois ensemble en se traitant d'idiotes pour le temps perdu par leur bêtise.
Elle rangea le livre dans le tiroir de son bureau et sortit de sa chambre. Elle ne trouva personne dans le salon alors elle se rendit dans la salle de musique.
Melina tressaillit en sentant l'atmosphère si lourde.
Olivia, Ludmia et Katchina étaient déjà présentes. Michaël alias Micha, leur producteur, se trouvait dos à elles. Melina entra et ferma la porte derrière elle. Micha se tourna enfin pour leur faire face. Son visage avait pris quelques rides mais dans l'ensemble, il était toujours le même.

"Le grand patron a décidé de vous laisser une chance pour maintenir votre place dans notre société."

Un silence de mort s'était installé.

"Vous avez jusqu’au début du mois prochain pour mettre de l'ordre dans vos affaires et revenir au studio pour vous remettre au boulot. Passez ce délais, votre contrat sera rompu définitivement."

Melina vit Olivia baisser la tête. Sans aucun doute qu'elle se sentait coupable.

"Vous vous êtes maintenues la tête hors de l'eau depuis deux ans mais ce n'est pas suffisant. Vous vallez mieux que ça." Décréta Michaël. " Alors nous vous voullons dans le studio le premier du mois prochain."

Olivia leva la tête vers lui. Melina craignit qu'elle proteste mais son amie n'en fit rien. Elle pouvait juste lire beaucoup de doutes et de douleurs dans son regard vairon.

"Oli, je sais tes nouvelles responsabilités. Deux enfants, c'est beaucoup de travail. Je sais ce que c'est mais il vous fait choisir: eux ou votre carrière. Et ça vaut aussi pour toi, Melina."

Toutes gardèrent le silence le plus absolue.
Micha soupira:

"Je reviens demain." Assura-t-il. " Mais... Vous êtes comme mes propres filles, je vous ai protégé le plus possible mais aujourd'hui, il vous faut vous débrouiller seules..."

"Merci Michaël." Souffla Olivia.

Micha lui sourit avec tendresse.
Melina le regarda partir. Elle ne se tourna pas tout de suite, préférant remettre de l'ordre dans ses pensés.

"Il faut en parler avec les garçons." Déclara Olivia en se levant. " Micha a raison: ils ne vont pas nous garder éternellement. Nous devons faire face..."

"Tu es sûre?" S'inquiéta Melina.

"Nous sommes ensemble alors ça ira."

"Je te reconnais enfin!" Sourit Katchina. " Je suis arrivée ici et ce matin, franchement... Je me suis demandée si on ne t'avait pas échangé contre un robot ou un truc tout mou comme une méduse...."

Olivia eut un petit sourire d'excuse.

"J'ai changé..."

"Nous avons toutes changées." Admit la bassiste. " Mais tu es bien moins fofolle qu'avant et surtout plus sombre. J'ai eu peur que tu n'aies sombré enfin de compte..."

"Oli sombre? Nous sommes transparentes ou quoi?" S'insurgea Melina. " Nous ne l'aurions pas permis..."

"Frank non plus!" Renchérit Ludmia.

"Frank?" S'étonna Katchina qui se retourna sur Olivia. " Comme dans Franky Ziegler? Le chanteur crooneur?"

Olivia rougit furieusement faisant rire ses amies.

"Et tu ne devineras jamais quand et où ils se sont mis ensemble!" Se moqua Melina.

"MELINA!" Hurla Olivia, rouge de gêne.

La jeune femme partit dans un grand rire en prenant Katchina avec elle et lui expliqua.

"Ca va aller?" S'enquit Ludmia.

Son amie sourit, se voulant rassurante.

"On va trouver une solution."

Ludmia la laissa partir. Elle resta dans la salle. Son coeur la fit souffrir. C'était franchement mal partie.

"""""""""

Jan se pressa sous la pluie battante. Ludmia l’avait appelé pour l’informer d’une réunion au « sommet ». Il courrait presque.
Tout à coup, il s’arrêta et fronça les sourcils. La jeune femme sous le porche d’une maison… complètement trempée, seule et qui semblait porter le poids du monde sur ses épaules basses…. Il la connaissait.
Il s’approcha.

« Vous allez bien ? » S’inquiéta-t-il.

La jeune femme releva un regard noyé de larmes vers Jan qui sentit son cœur se serrer. Elle essuya ses larmes d’un revers de la main et lui fit un misérable sourire.

« C’est la deuxième fois que l’on se rencontre. » Remarqua-t-elle d’une voix légèrement brisée preuve qu’elle venait de beaucoup pleurer.

Jan lui sourit sans la détromper. A quoi bon ?!
Elle raffermit ses bras autour d’elle, frissonnante. Jan retira sa veste et la posa sur les épaules de l’inconnue qui le fixa, surprise. Une voiture se gara devant eux.

« Je crois que votre carrisse est avancée. » Rigola-t-il en retournant sous la pluie diluvienne.

Il se mit à courir sans se retourner. Il ne la vit donc pas le suivre des yeux avec tristesse et envie.

Jan entra dans la maison, dégoûlinant de partout.

« Je vais me changer et j’arrive. » Lança-t-il en grimpant les escaliers quatre à quatre.

Il se sécha après une rapide douche et s’habilla plus chaudement. Le DJ redescendit dans le salon où se trouvait déjà le reste du groupe. Les trois filles se concertèrent du regard, incertaines. Melina finit par briser le silence inquiet qui s’était installé.

« Michael est venu… »

Elle hésita et chercha le soutient de ses deux amies.

« Nous devons reprendre l’enregistrement pour le début du mois prochain. » Déclara Ludmia.

Les garçons se regardèrent.

« Nous allons devoir faire pareil. » Soupira Juri.

Naya lui serra la main en guise de soutient muet.

« Vous devez retourner en studio ? » S’étonna Melina en se tournant sur Linke.

« Nous avons trouvé une solution. » Rétorqua-t-il très calmement malgré le regard inquisiteur de sa petite-amie.

« Nous allons construire un studio dans la villa. » Expliqua David. « Mes parents veulent bien que je déménage celui que nous avons chez eux. »

Olivia soupira et jeta un rapide coup d’œil à Frank qui la scrutait à la recherche de la moindre réaction.

« C’est d’accord mais nous, nous devons quand même retourner en ville et reprendre des concerts. » Concéda-t-elle.

Elle se leva et fit quelques pas, stressée comme jamais. Elle se posat un tas de questions sur la façon dont les enfants seraient éduqués et dont ils réagiraient sans elle. Jamais ils n’avaient été séparé comme ils allaient l’être le mois prochain.

« Il nous faut une nounou pour le mois prochain. » Grimaça-t-elle en réfléchissant.

« Et comment faire ? Tu nous vois aller dans une agence pour demander à voir les employées ? » S’enquit Juri, inquiet. « Toutes les fans du coin et des autres villes vont se ramener pour le poste et demain, j’imagine les gros titres de la presse à scandale. »

Olivia s’assit près de ses deux amies, vaincue.

« Oula ! » Souffla David en voyant le sourire de Melina. « Qu’as-tu trouvée comme idées à deux balles ? »

« Tu sais ce qu’elles te disent mes idées à deux balles ? » Cracha-t-elle avant d’expliquer. « Je propose de déléguer à Michael cette tâche… C’est de sa faute de nous prendre aussi tard sur le fait. »

Tous la fixèrent, songeurs.

« Une vengeance un peu mesquine. » Commenta Ludmia.

Elles échangèrent un regard entendu avec la même expression flippante sur le visage.

« Ca s’est fait ! » Rigola Jan.

« Quand comptez-vous commencer les travaux ? » S’enquit Olivia.

« Demain. » Répondit David un peu incertain des réactions de la propriétaire.

Mais cette dernière hocha simplement la tête positivement.

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Melina regarda Adam jetant son balon en mousse contre le mur et le rattraper en riant aux éclats. Si quelqu’un lui avait dit quelques semaines plus tôt que la perspective d’être séparée de ce petit bout et de son père l’angoisserait, elle en serait morte de rire… Littéralement.
D’ici deux semaines, elles seraient loin des enfants et des Panik. Enfin, quand elle disait « loin », tout était relatif. En deux heures, elle serait à la villa mais cela lui semblait si éloignée. Elle se retourna en entendant la porte de la chambre se refermer. Linke entra dans la pièce, les pieds un peu lourds. Il l’embrassa tendrement.

« Ca va ? »

« A peu près. » Avoua-t-elle.

Il ne lui posa aucune question vu qu’il connaissait les causes de son manque d’énergie habituelle. Lui non plus n’était pas au meilleur de sa forme.

« Nous allons gérer au mieux cette épreuve. » Assura-t-il.

Elle ne répondit rien.

« Et si nous sortions tous les trois ce soir. » Proposa Linke.

« Tu veux emmener Adam en boîte ? Linke, tu me déçois… Il n’a qu’un an tu sais. » S’insurgea-t-elle.

Linka rigola.

« Je te parle d’un petit restaurant et d’une promenade au clair de lune dans un calme absolue. »

Melina sourit en coin.

« Monsieur Christian Linke est un vrai romantique sous sa carapce de gélatine congelée. »

Il leva les yeux au ciel sachant qu’elle le taquinait pour cacher sa gêne.

« Tu es partante ? »

« Bien sur ! » S’amusa-t-elle en l’embrassant timidement.

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « «

Lili ferma les portes de la salle de musique reconvertie en chambre avec douceur. Elle avait bordé les jumeaux longuement. Elle n’arrivait pas encore à saisir pleinement qu’elle allait quitter cette maison pour se rendre dans une ville où elle n’avait plus remis les pieds depuis deux longues années.

« Tu ne pars pas au Pérou. » Fit Timo adossé au mur près d’elle.

« Tu me reparles ? » Demanda-t-elle sans le regarder.

Un ultime rampar pour ne pas le voir voler en fumer et comprendre qu’elle rêvait. Un silence lui répondit. Elle osa enfin lever les yeux vers lui, rencontrant son regard chocolat. Il s’approcha et posa son front contre son épaule.

« M’aimes-tu encore ? »

Prise au dépourvue, elle ne sut que répondre. Il attendit sans un mot, sans bouger. Juste son front contre son épaule.

« Je… » Hésita-t-elle avant de souffler inaudiblement. « Oui… »

Elle sourit légèrement à cet aveu si sincère. Timo se releva lentement et la fixa un instant sans expression sur son visage. Il posa son index sur la joue d’Olivia. Il se mit à promener son doigt sur sa peau, retrassant ses traits.

« J’ai tant de questions dont les réponses se trouvent sous mon nez mais… »

« Que tu n’acceptes pas ! » Termina-t-elle à sa place à voix basse.

Il ne rétorqua rien.
Elle l’avait compris.
Sa main retomba mollement le long de son corps.

« C’est trop compliqué. » Grommela-t-il en la contournant pour s’en aller.

Olivia ne bougea pas le laissant partir. Elle soupira, se retourna et sursauta en voyant Frank lui faire face.

« Tu l’aimes donc encore ? » Remarqua-t-il sans une once de colère ou de reproche.

Olivia s’approcha de lui.

« Oui, je l’aime mais… Pas comme toi. Je ne veux pas le perdre mais toi encore moins. Toi, tu fais partie de moi… Depuis le début ! » Murmura-t-elle doucement.

Frank la prit dans ses bras.

« Je t’aime ! » Déclara-t-il, la voix étouffée dans le cou de la jeune femme.

« Moi aussi je t’aime… »

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « «

Ludmia grogna de mécontentement. Michael l’avait appelé pour qu’elle vienne chercher leur contrat au studio et l’informer qu’il avait trouvé une Baby-sitter. Elle descendit au sous-sol pour reprendre sa voiture, le pas lourd.
Elle détestait quand Micha faisait son petit tyran. Il ordonnait et si aucune d’elles n’obéissaient, il les privait de ce qui leur était vital.
A elle, son forfait portable.
Tout ce qu’il y avait de plus vitale qand sa famille habitait à plus de milles kilomètres de son lieux d’habitations. Elle l’injuria à voix basse tout en cherchant ses clés dans son sac. C’était le défis de la soirée qu’elle était entrain de relever. Pas pire que Melina ou Olivia mais presque. Ca relevait de la gageur que de trouver quelque chose à l’intiérieur de son sac dans le seconde. Elle émit un petit cri triomphant en les sortant de son bardafe.
Le tout, à présent, était de trouver sa « titine ». C’était quoi cette manie de créer des garages trop grands, trop sombres… Trop flippants.
Elle accéléra le pas en voyant sa voiture un peu plus loin. Elle ricana en pensant à ces films d’horreur où la victime perd ses clés sur le sol au moment où elle arrive à la voiture. Ludmia raffermit ses doigts sur la clé. C’était un classique véridique avec elle.
Elle contourna sa voiture et s’arrêta devant le capot. Un jeune garçon attendait devant la portière conducteur.
Il sourit.

« Bonsoir ! » Lança-t-il dans un sourire. « Vous êtes bien Ludmia Harrisson, je me trompe ? »

Ludmia fronça légèrement les sourcils. Elle s’approcha mais garda une certaine distance.

« Ma voiture n’est pas loin et j’ai entendu dans l’immeuble que vous étiez là alors… Je voulais vous demander un autographe… » Rougit-il en bafouillant.

Un classique du genre certainement. Ludmia s’approcha lentement, prit le papier qu’il tendait et le stylo. Sans doute pas assez vite vu qu’il lui agrippa le poignet et la plaqua contre son torse. Un torchon à l’odeur infecte se posa sur sa bouche. Un cri lui échappa alors que la torpeur la saisissait. Pourtant son instinct de survie prit le dessus et elle lui asséna un coup violent dans les côtes qui le força à lâcher prise. Elle se mit à courir le plus vite possible mais avec son esprit embrumé par la saleté qu’il lui avait fait respirer, ce n’était pas facile. Un coup d’une violence inouïe la projeta sur le capot d’une autre voiture. Elle roula sur ce dernier et tomba au sol dans un bruit sourd. Son souffle fut coupé par un poid sur son dos. Des mains se saisirent de ses cheveux et son front rencontra le bitume. Sa vision devint rouge puis noir. Elle entendit juste : « tu ne resteras pas seule très longtemps. Je suis navré. » Si elle avait pu, elle lui aurait dit tout le bien qu’elle pensait de lui mais elle sombra dans l’inconscience avec pour seule pensée : ses amies qui ignoraient tout.

arggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggg non tout sauf ça !!!!! en plein dans le suspense!!!! rolala je suis sous le choc !!! ^^

Je veux la suiteuhhhhhhhhhhhh

Me laisse pas au mains d'un détraqué mental. Au secourrrrrrrrrrrrrrrr

Mais j'aime, j'aime j'aimeuhhhhhhhhhhhhhh

Je t'aimeuhhhhhhhhhhhhhh ma lili